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aux chercheurs
Merci aux chercheurs
10 ans 10 ans

ensemble célébrons 10 ans de victoires extraordinaires pour
la recherche sur le cancer

10 VICTOIRES EXTRAORDINAIRES pour la recherche sur le cancer

  • 1 Une meilleure prévention
  • 2 Un diagnostic plus précoce
  • 3 Des opérations plus précises
  • 4 Le développement des analyses moléculaires
  • 5 Des thérapies ciblées plus efficaces
  • 6 Le développement des immunothérapies
  • 7 Une meilleure prédiction de la réponse aux traitements
  • 8 Un accès au meilleur traitement
  • 9 De nouvelles combinaisons de traitements
  • 10 Une qualité de vie améliorée
Une meilleure prévention

1 Une meilleure prévention

Les progrès en cancérologie passent d’abord par une meilleure prévention.

Aujourd’hui, par exemple, nous avons rendu possible, grâce à un logiciel innovant, l’évaluation du risque individuel de chaque femme d’avoir un cancer du sein à partir de son historique personnel et médical.

Un diagnostic plus précoce

2 Un diagnostic plus précoce

Pour accroître les chances de guérison et limiter les effets secondaires des traitements, le diagnostic doit être fait le plus tôt possible. Des progrès ont notamment été réalisés pour le diagnostic du cancer du col de l’utérus.

Il est aujourd’hui plus précis et plus précoce, ce qui permet d’intervenir rapidement, d’utiliser des traitements moins lourds et de guérir plus souvent.

Des opérations plus précises

3 Des opérations plus précises

La chirurgie reste très souvent le premier geste thérapeutique. Le développement des technologies d’imagerie médicale permet de guider une chirurgie moins invasive, mieux ciblée, par exemple dans la prise en charge des cancers digestifs.

Le développement des analyses moléculaires

4 Le développement des analyses moléculaires

81 000 patients ont bénéficié d’une analyse moléculaire en 2017. Par exemple, les biopsies liquides, analyses moléculaires dans le sang, se développent pour limiter les biopsies directement dans la tumeur, nécessitant l’intervention du chirurgien.

Des thérapies ciblées plus efficaces

5 Des thérapies ciblées plus efficaces

La caractérisation plus précise des tumeurs permet de proposer, lorsqu’il existe, un traitement ciblé sur les anomalies moléculaires identifiées. Le traitement est ainsi devenu plus précis et plus efficace. Il n’est plus guidé seulement par la localisation de la tumeur.

Le développement des immunothérapies

6 Le développement des immunothérapies

En 2010, sont apparus des médicaments qui renforcent les défenses immunitaires des patients. Ces immunothérapies se sont d’abord montrées efficaces dans le mélanome métastatique, permettant de sauver 40 % des patients qui, avant 2010, n’auraient pas survécu à la maladie. En 10 ans, ce traitement s’est étendu à de nombreux autres types de tumeur.

Une meilleure prédiction de la réponse aux traitements

7 Une meilleure prédiction de la réponse aux traitements

Pour utiliser les thérapies ciblées et les immunothérapies uniquement chez les patients qui vont en tirer un bénéfice, il est nécessaire de développer des tests prédictifs de la réponse.

Ainsi, alors que seulement 15 % des patients atteints de sarcome répondaient initialement à une immunothérapie, le taux de réponse est maintenant de 50 % car les patients ont été mieux sélectionnés.

Un accès au meilleur traitement

8 Un accès au meilleur traitement

Il est essentiel de donner à chaque malade les meilleures chances d’accès aux nouveaux traitements. Cela passe notamment par la participation à des essais cliniques testant de nouvelles approches thérapeutiques. En 2018, dans les centres labellisés, 912 patients en échec thérapeutique dont 137 enfants ont eu accès à des thérapies ciblées innovantes.

De nouvelles combinaisons de traitements

9 De nouvelles combinaisons de traitements

L’association de plusieurs traitements permet d’augmenter les chances de guérison. Par exemple, contre les mélanomes, l’association de deux thérapies ciblées permet d’allonger la survie de 34 % à 5 ans.

Une qualité de vie améliorée

10 Une qualité de vie améliorée

Les chercheurs développent des stratégies pour limiter la fatigue, préserver la masse musculaire, accompagner psychologiquement, réduire l’impact familial et social de la maladie.

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Nos défis à relever ensemble pour les années à venir !

Pr. Éric Solary

Pr. Éric Solary,
Président du Conseil scientifique de la Fondation ARC

Le premier enjeu est de mieux prévenir la survenue d’un cancer en adaptant la prévention à chaque personne.

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Le premier enjeu est de mieux prévenir la survenue d’un cancer en adaptant la prévention à chaque personne. C’est aussi diagnostiquer plus tôt les cancers pour intervenir plus vite, avant qu’une tumeur génère des métastases.

Lorsqu’un traitement est nécessaire, il est utile d’anticiper son efficacité pour faire des choix entre différents traitements. Pour cela, nous devons continuer à analyser les tumeurs, ce qu’il est maintenant possible de réaliser à l’échelle unicellulaire. Cela permet de prendre en compte la diversité des cellules qui composent une tumeur car cette diversité influence la réponse au traitement.

Pour relever ces premiers défis, l’intelligence artificielle devrait nous aider. L’analyse intégrée de grandes quantités de données permet de créer des algorithmes qui aident les médecins dans l’analyse des images radiologiques, des biopsies tissulaires et des études moléculaires.

L’amélioration des stratégies thérapeutiques contre les cancers passe aussi par l’utilisation de plus en plus précise des nouveaux traitements - immunothérapies et thérapies ciblées- et de leurs combinaisons : quel est le meilleur moment ? quelle est la meilleure dose ?

Autre défi à relever, adapter la prise en charge des cancers à l’âge des patients, aux autres maladies qui les affectent, pour être efficaces à tous les âges de la vie.

Enfin, et ce n’est pas le moindre des défis, il faut s’assurer de la qualité de vie des patients pendant et après le traitement d’un cancer, prendre en compte ce paramètre dans le choix du traitement, et aider les personnes guéries à reprendre une vie normale.

ILS TÉMOIGNENT

Denis Brogniart

Denis Brogniart,
Parrain de la Fondation ARC

En 1992, je perds mon père. Il a lutté plus d’un an contre un cancer du poumon. Il a 49 ans, j’en ai 25. Depuis cette maladie me hante. Pourquoi au XXIe siècle, ce fléau est-il encore la première cause de mortalité avec près de 400 décès par jour en France ? C’est pour contribuer à diminuer ce chiffre que j’ai décidé de devenir parrain de la Fondation ARC pour la recherche sur le cancer. Cette fondation travaille avec les meilleurs experts mondiaux pour vaincre la maladie. La Fondation ARC est une véritable fabrique d’espoir. Alors donnons pour la recherche et sauvons plus de vies !

Anne-Isabelle play

Anne-Isabelle, 21 ans,
touchée par un cancer du côlon

...

Anne-Isabelle

Pr. Éric Solary,
Président du Conseil scientifique
de la Fondation ARC

Ce sont les espoirs de guérison des malades qui me portent en tant que médecin, ce sont le besoin de comprendre et la nécessite de trouver des solutions thérapeutiques qui me portent en tant que chercheur.

Anne-Isabelle

Sloane, 35 ans,
touchée par un cancer du sein

À 6 mois de grossesse, mon sein droit avait un aspect bizarre. Après des examens, on m’annonce que c’est un cancer ! Les médecins ont choisi de retirer la tumeur, mais il était hors de question que je fasse de la chimiothérapie durant ma grossesse. J’ai donc commencé la chimio quand mon petit garçon a eu 3 semaines… 8 mois après, on me retirait mes deux seins alors que je n’avais que 31 ans. Le travail des chercheurs m’a permis de bénéficier de traitements adaptés à ma vie de maman. Il est donc primordial de soutenir la recherche car c’est grâce à elle qu’on soigne de mieux en mieux les patients et qu’on sauve des vies.

Anne-Isabelle

Paul,
Donateur

Aujourd’hui, j’ai l’impression que les cancers se multiplient autour de moi. Personne n’est épargné par cette maladie et demain ce sera peut-être moi ou un autre de mes proches.
Il faut permettre à la recherche d’accélérer les découvertes en la soutenant le plus activement possible. De mon côté, j’ai choisi de donner 15 euros par mois en prélèvement automatique. Ce montant prélevé chaque mois me permet de soutenir cette cause qui me tient à cœur.

Adrien

Adrien,
guéri d’un cancer du sang

En 1990, on a diagnostiqué à mon petit garçon Adrien, âgé de 2 ans, un lymphome de Burkitt, un cancer du sang. La chimiothérapie a été très éprouvante. Nous sommes passés d’un petit garçon vif à un enfant malade. Il ne parlait presque plus, maigrissait, perdait ses cheveux… et nous demandait sans arrêt « Pourquoi ? » … En 1996, on nous a enfin annoncé « Adrien ne rechutera pas ». Aujourd’hui, il va bien et n’a aucune séquelle.

En France, nous avons des chercheurs de grande qualité, et heureusement qu’ils peuvent compter sur le soutien de particuliers pour continuer de faire progresser les traitements.

Denis Brogniart

Denis Brogniart,
Parrain de la Fondation ARC

En 1992, je perds mon père. Il a lutté plus d’un an contre un…

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Anne-Isabelle play

Anne-Isabelle, 21 ans,
touchée par un cancer du côlon

Adrien

Adrien,
guéri d’un cancer du sang

En 1990, on a diagnostiqué à mon petit garçon Adrien, âgé de 2…

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Sloane

Sloane, 35 ans,
touchée par un cancer du sein

À 6 mois de grossesse, mon sein droit avait un aspect bizarre…

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Paul

Paul,
Donateur

Aujourd’hui, j’ai l’impression que les cancers se multiplient…

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Pr. Éric Solary

Pr. Éric Solary,
Président du Conseil scientifique
de la Fondation ARC

Ce sont les espoirs de guérison des malades qui me portent en tant…

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