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CANCER : 10 ANS DE VICTOIRES EXTRAORDINAIRES ! JE DIS MERCI AUX CHERCHEURS
Chaque jour les chercheurs réalisent des avancées décisives dans la lutte contre le cancer pour chacun d’entre nous. Aujourd’hui, avec nous, remerciez-les !
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ensemble célébrons 10 ans de victoires extraordinaires pour
la
recherche sur le cancer
10 VICTOIRES EXTRAORDINAIRES pour la recherche sur le cancer
- 1 Une meilleure prévention
- 2 Un diagnostic plus précoce
- 3 Des opérations plus précises
- 4 Le développement des analyses moléculaires
- 5 Des thérapies ciblées plus efficaces
- 6 Le développement des immunothérapies
- 7 Une meilleure prédiction de la réponse aux traitements
- 8 Un accès au meilleur traitement
- 9 De nouvelles combinaisons de traitements
- 10 Une qualité de vie améliorée
1 Une meilleure prévention
Les progrès en cancérologie passent d’abord par une meilleure prévention.
Aujourd’hui, par exemple, nous avons rendu possible, grâce à un logiciel
innovant, l’évaluation du risque individuel de chaque femme d’avoir un cancer du
sein à partir de son historique personnel et médical.
2 Un diagnostic plus précoce
Pour accroître les chances de guérison et limiter les effets secondaires des
traitements, le diagnostic doit être fait le plus tôt possible. Des progrès ont
notamment été réalisés pour le diagnostic du cancer du col de l’utérus.
Il est aujourd’hui plus précis et plus précoce, ce qui permet d’intervenir
rapidement, d’utiliser des traitements moins lourds et de guérir plus souvent.
3 Des opérations plus précises
La chirurgie reste très souvent le premier geste thérapeutique. Le développement
des technologies d’imagerie médicale permet de guider une chirurgie moins
invasive, mieux ciblée, par exemple dans la prise en charge des cancers
digestifs.
4 Le développement des analyses moléculaires
81 000 patients ont bénéficié d’une analyse moléculaire en 2017. Par exemple, les
biopsies liquides, analyses moléculaires dans le sang, se développent pour
limiter les biopsies directement dans la tumeur, nécessitant l’intervention du
chirurgien.
5 Des thérapies ciblées plus efficaces
La caractérisation plus précise des tumeurs permet de proposer, lorsqu’il existe,
un traitement ciblé sur les anomalies moléculaires identifiées. Le traitement
est ainsi devenu plus précis et plus efficace. Il n’est plus guidé seulement par
la localisation de la tumeur.
6 Le développement des immunothérapies
En 2010, sont apparus des médicaments qui renforcent les défenses immunitaires
des patients. Ces immunothérapies se sont d’abord montrées efficaces dans le
mélanome métastatique, permettant de sauver 40 % des patients qui, avant 2010,
n’auraient pas survécu à la maladie. En 10 ans, ce traitement s’est étendu à de
nombreux autres types de tumeur.
7 Une meilleure prédiction de la réponse aux
traitements
Pour utiliser les thérapies ciblées et les immunothérapies uniquement chez les
patients qui vont en tirer un bénéfice, il est nécessaire de développer des
tests prédictifs de la réponse.
Ainsi, alors que seulement 15 % des patients atteints de sarcome répondaient
initialement à une immunothérapie, le taux de réponse est maintenant de 50 % car
les patients ont été mieux sélectionnés.
8 Un accès au meilleur traitement
Il est essentiel de donner à chaque malade les meilleures chances d’accès aux
nouveaux traitements. Cela passe notamment par la participation à des essais
cliniques testant de nouvelles approches thérapeutiques. En 2018, dans les
centres labellisés, 912 patients en échec thérapeutique dont 137 enfants ont eu
accès à des thérapies ciblées innovantes.
9 De nouvelles combinaisons de traitements
L’association de plusieurs traitements permet d’augmenter les chances de
guérison. Par exemple, contre les mélanomes, l’association de deux thérapies
ciblées permet d’allonger la survie de 34 % à 5 ans.
10 Une qualité de vie améliorée
Les chercheurs développent des stratégies pour limiter la fatigue, préserver la
masse musculaire, accompagner psychologiquement, réduire l’impact familial et
social de la maladie.
1
Une meilleure prévention
Les progrès en cancérologie passent d’abord par une meilleure prévention.
Aujourd’hui, par exemple, nous avons rendu possible, grâce à un logiciel innovant,
l’évaluation du risque individuel de chaque femme d’avoir un cancer du sein à partir de
son historique personnel et médical.
2
Un diagnostic plus précoce
Pour accroître les chances de guérison et limiter les effets secondaires des traitements,
le diagnostic doit être fait le plus tôt possible. Des progrès ont notamment été
réalisés pour le diagnostic du cancer du col de l’utérus.
Il est aujourd’hui plus précis et plus précoce, ce qui permet d’intervenir rapidement,
d’utiliser des traitements moins lourds et de guérir plus souvent.
3
Des opérations plus précises
La chirurgie reste très souvent le premier geste thérapeutique. Le développement des
technologies d’imagerie médicale permet de guider une chirurgie moins invasive, mieux
ciblée, par exemple dans la prise en charge des cancers digestifs.
4
Le développement des analyses moléculaires
81 000 patients ont bénéficié d’une analyse moléculaire en 2017. Par exemple, les
biopsies liquides, analyses moléculaires dans le sang, se développent pour limiter les
biopsies directement dans la tumeur, nécessitant l’intervention du chirurgien.
5
Des thérapies ciblées plus efficaces
La caractérisation plus précise des tumeurs permet de proposer, lorsqu’il existe, un
traitement ciblé sur les anomalies moléculaires identifiées. Le traitement est ainsi
devenu plus précis et plus efficace. Il n’est plus guidé seulement par la localisation
de la tumeur.
6
Le développement des immunothérapies
En 2010, sont apparus des médicaments qui renforcent les défenses immunitaires des
patients. Ces immunothérapies se sont d’abord montrées efficaces dans le mélanome
métastatique, permettant de sauver 40 % des patients qui, avant 2010, n’auraient pas
survécu à la maladie. En 10 ans, ce traitement s’est étendu à de nombreux autres types
de tumeur.
7
Une meilleure prédiction de la réponse aux traitements
Pour utiliser les thérapies ciblées et les immunothérapies uniquement chez les patients
qui vont en tirer un bénéfice, il est nécessaire de développer des tests prédictifs de
la réponse.
Ainsi, alors que seulement 15 % des patients atteints de sarcome répondaient initialement
à une immunothérapie, le taux de réponse est maintenant de 50 % car les patients ont été
mieux sélectionnés.
8
Un accès au meilleur traitement
Il est essentiel de donner à chaque malade les meilleures chances d’accès aux nouveaux
traitements. Cela passe notamment par la participation à des essais cliniques testant de
nouvelles approches thérapeutiques. En 2018, dans les centres labellisés, 912 patients
en échec thérapeutique dont 137 enfants ont eu accès à des thérapies ciblées innovantes.
9
De nouvelles combinaisons de traitements
L’association de plusieurs traitements permet d’augmenter les chances de guérison. Par
exemple, contre les mélanomes, l’association de deux thérapies ciblées permet d’allonger
la survie de 34 % à 5 ans.
10
Une qualité de vie améliorée
Les chercheurs développent des stratégies pour limiter la fatigue, préserver la masse
musculaire, accompagner psychologiquement, réduire l’impact familial et social de la
maladie.
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espoirs des malades.
Pour accélérer les recherches et sauver plus de vies :
Je
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Nos défis à relever ensemble pour les années à venir !
Pr. Éric Solary,
Président du Conseil scientifique de la
Fondation ARC
Le premier enjeu est de mieux prévenir la survenue d’un cancer en adaptant la
prévention à chaque personne.
Lire la suite
Le premier enjeu est de mieux prévenir la survenue d’un cancer en adaptant la
prévention à chaque personne. C’est aussi diagnostiquer plus tôt les
cancers pour intervenir plus vite, avant qu’une tumeur génère des métastases.
Lorsqu’un traitement est nécessaire, il est utile d’anticiper son efficacité pour
faire des choix entre différents traitements. Pour cela, nous devons
continuer à analyser les tumeurs, ce qu’il est maintenant possible de réaliser à
l’échelle unicellulaire. Cela permet de prendre en compte la diversité des cellules qui
composent une tumeur car cette diversité influence la réponse au traitement.
Pour relever ces premiers défis, l’intelligence artificielle devrait
nous aider. L’analyse intégrée de grandes quantités de données permet de créer des
algorithmes qui aident les médecins dans l’analyse des images radiologiques, des
biopsies tissulaires et des études moléculaires.
L’amélioration des stratégies thérapeutiques contre les cancers passe
aussi par l’utilisation de plus en plus précise des nouveaux traitements -
immunothérapies et thérapies ciblées- et de leurs combinaisons : quel est le meilleur
moment ? quelle est la meilleure dose ?
Autre défi à relever, adapter la prise en charge des cancers à l’âge des
patients, aux autres maladies qui les affectent, pour être efficaces à tous
les âges de la vie.
Enfin, et ce n’est pas le moindre des défis, il faut s’assurer de la qualité de
vie des patients pendant et après le traitement d’un cancer, prendre en
compte ce paramètre dans le choix du traitement, et aider les personnes guéries à
reprendre une vie normale.
ILS TÉMOIGNENT
Denis Brogniart,
Parrain de la Fondation ARC
En 1992, je perds mon père. Il a lutté
plus d’un an contre un cancer du poumon. Il a 49 ans, j’en ai 25. Depuis
cette maladie me hante. Pourquoi au XXIe siècle, ce fléau est-il encore
la première cause de mortalité avec près de 400 décès par jour en France
? C’est pour contribuer à diminuer ce chiffre que j’ai décidé de devenir
parrain de la Fondation ARC pour la recherche sur le cancer. Cette
fondation travaille avec les meilleurs experts mondiaux pour vaincre la
maladie. La Fondation ARC est une véritable fabrique d’espoir. Alors
donnons pour la recherche et sauvons plus de vies !
Anne-Isabelle, 21 ans,
touchée par un cancer du côlon
...
Pr. Éric Solary,
Président du Conseil scientifique
de la Fondation ARC
Ce sont les espoirs de
guérison des malades qui me portent en tant que médecin, ce sont le
besoin de comprendre et la nécessite de trouver des solutions
thérapeutiques qui me portent en tant que chercheur.
Sloane, 35 ans,
touchée par un cancer du sein
À 6 mois de grossesse, mon sein droit
avait un aspect bizarre. Après des examens, on m’annonce que c’est un
cancer ! Les médecins ont choisi de retirer la tumeur, mais il était
hors de question que je fasse de la chimiothérapie durant ma grossesse.
J’ai donc commencé la chimio quand mon petit garçon a eu 3 semaines… 8
mois après, on me retirait mes deux seins alors que je n’avais que 31
ans. Le travail des chercheurs m’a permis de bénéficier de traitements
adaptés à ma vie de maman. Il est donc primordial de soutenir la
recherche car c’est grâce à elle qu’on soigne de mieux en mieux les
patients et qu’on sauve des vies.
Paul,
Donateur
Aujourd’hui, j’ai
l’impression que les cancers se multiplient autour de moi. Personne
n’est épargné par cette maladie et demain ce sera peut-être moi ou un
autre de mes proches.
Il faut permettre à la recherche d’accélérer les découvertes en la
soutenant le plus activement possible. De mon côté, j’ai choisi de
donner 15 euros par mois en prélèvement automatique. Ce montant prélevé
chaque mois me permet de soutenir cette cause qui me tient à cœur.
Adrien,
guéri d’un cancer du sang
En 1990, on a diagnostiqué à mon petit
garçon Adrien, âgé de 2 ans, un lymphome de Burkitt, un cancer du
sang. La chimiothérapie a été très éprouvante. Nous sommes passés d’un
petit garçon vif à un enfant malade. Il ne parlait presque plus,
maigrissait, perdait ses cheveux… et nous demandait sans arrêt «
Pourquoi ? » … En 1996, on nous a enfin annoncé « Adrien ne rechutera
pas ». Aujourd’hui, il va bien et n’a aucune séquelle.
En France, nous avons des chercheurs de grande qualité, et
heureusement
qu’ils peuvent compter sur le soutien de particuliers pour continuer de
faire progresser les traitements. 
Denis Brogniart,
Parrain de la Fondation ARC
En 1992, je perds
mon père. Il a lutté plus d’un an contre un…
En 1992, je perds mon père. Il a lutté plus d’un an contre un
cancer du poumon. Il a 49 ans, j’en ai 25. Depuis cette maladie me hante.
Pourquoi au XXIe siècle, ce fléau est-il encore la première cause de mortalité
avec près de 400 décès par jour en France ? C’est pour contribuer à diminuer ce
chiffre que j’ai décidé de devenir parrain de la Fondation ARC pour la recherche
sur le cancer. Cette fondation travaille avec les meilleurs experts mondiaux
pour vaincre la maladie. La Fondation ARC est une véritable fabrique d’espoir.
Alors donnons pour la recherche et sauvons plus de vies !
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Anne-Isabelle, 21 ans,
touchée par un cancer du côlon
Adrien,
guéri d’un cancer du sang
En 1990, on a
diagnostiqué à mon petit garçon Adrien, âgé de 2…
En 1990, on a diagnostiqué à mon petit garçon Adrien, âgé de 2
ans, un lymphome de Burkitt, un cancer du sang. La chimiothérapie a été
très éprouvante. Nous sommes passés d’un petit garçon vif à un enfant malade. Il
ne parlait presque plus, maigrissait, perdait ses cheveux… et nous demandait
sans arrêt « Pourquoi ? » … En 1996, on nous a enfin annoncé « Adrien ne
rechutera pas ». Aujourd’hui, il va bien et n’a aucune séquelle.
En France, nous avons des chercheurs de
grande qualité, et heureusement qu’ils peuvent compter sur le soutien de
particuliers pour continuer de faire progresser les traitements.
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Sloane, 35 ans,
touchée par un cancer du sein
À 6 mois de
grossesse, mon sein droit avait un aspect bizarre…
À 6 mois de grossesse, mon sein droit avait un aspect bizarre.
Après des examens, on m’annonce que c’est un cancer ! Les médecins ont choisi de
retirer la tumeur, mais il était hors de question que je fasse de la
chimiothérapie durant ma grossesse. J’ai donc commencé la chimio quand mon petit
garçon a eu 3 semaines… 8 mois après, on me retirait mes deux seins alors que je
n’avais que 31 ans. Le travail des chercheurs m’a permis de bénéficier de
traitements adaptés à ma vie de maman. Il est donc primordial de soutenir la
recherche car c’est grâce à elle qu’on soigne de mieux en mieux les patients et
qu’on sauve des vies.
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Paul,
Donateur
Aujourd’hui, j’ai
l’impression que les cancers se multiplient…
Aujourd’hui, j’ai l’impression que les cancers se multiplient
autour de moi. Personne n’est épargné par cette maladie et demain ce sera
peut-être moi ou un autre de mes proches.
Il faut permettre à la recherche
d’accélérer les découvertes en la soutenant le plus activement possible. De mon
côté, j’ai choisi de donner 15 euros par mois en prélèvement automatique. Ce
montant prélevé chaque mois me permet de soutenir cette cause qui me tient à
cœur.
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Pr. Éric Solary,
Président du Conseil scientifique
de la Fondation ARC
Ce sont les espoirs
de guérison des malades qui me portent en tant…
Ce sont les espoirs de guérison des malades qui me portent en
tant que médecin, ce sont le besoin de comprendre et la nécessite de trouver des
solutions thérapeutiques qui me portent en tant que chercheur.
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- 1 Une meilleure prévention
- 2 Un diagnostic plus précoce
- 3 Des opérations plus précises
- 4 Le développement des analyses moléculaires
- 5 Des thérapies ciblées plus efficaces
- 6 Le développement des immunothérapies
- 7 Une meilleure prédiction de la réponse aux traitements
- 8 Un accès au meilleur traitement
- 9 De nouvelles combinaisons de traitements
- 10 Une qualité de vie améliorée

1 Une meilleure prévention
Les progrès en cancérologie passent d’abord par une meilleure prévention.
Aujourd’hui, par exemple, nous avons rendu possible, grâce à un logiciel innovant, l’évaluation du risque individuel de chaque femme d’avoir un cancer du sein à partir de son historique personnel et médical.

2 Un diagnostic plus précoce
Pour accroître les chances de guérison et limiter les effets secondaires des traitements, le diagnostic doit être fait le plus tôt possible. Des progrès ont notamment été réalisés pour le diagnostic du cancer du col de l’utérus.
Il est aujourd’hui plus précis et plus précoce, ce qui permet d’intervenir rapidement, d’utiliser des traitements moins lourds et de guérir plus souvent.

3 Des opérations plus précises
La chirurgie reste très souvent le premier geste thérapeutique. Le développement des technologies d’imagerie médicale permet de guider une chirurgie moins invasive, mieux ciblée, par exemple dans la prise en charge des cancers digestifs.

4 Le développement des analyses moléculaires
81 000 patients ont bénéficié d’une analyse moléculaire en 2017. Par exemple, les biopsies liquides, analyses moléculaires dans le sang, se développent pour limiter les biopsies directement dans la tumeur, nécessitant l’intervention du chirurgien.

5 Des thérapies ciblées plus efficaces
La caractérisation plus précise des tumeurs permet de proposer, lorsqu’il existe, un traitement ciblé sur les anomalies moléculaires identifiées. Le traitement est ainsi devenu plus précis et plus efficace. Il n’est plus guidé seulement par la localisation de la tumeur.

6 Le développement des immunothérapies
En 2010, sont apparus des médicaments qui renforcent les défenses immunitaires des patients. Ces immunothérapies se sont d’abord montrées efficaces dans le mélanome métastatique, permettant de sauver 40 % des patients qui, avant 2010, n’auraient pas survécu à la maladie. En 10 ans, ce traitement s’est étendu à de nombreux autres types de tumeur.

7 Une meilleure prédiction de la réponse aux traitements
Pour utiliser les thérapies ciblées et les immunothérapies uniquement chez les patients qui vont en tirer un bénéfice, il est nécessaire de développer des tests prédictifs de la réponse.
Ainsi, alors que seulement 15 % des patients atteints de sarcome répondaient initialement à une immunothérapie, le taux de réponse est maintenant de 50 % car les patients ont été mieux sélectionnés.

8 Un accès au meilleur traitement
Il est essentiel de donner à chaque malade les meilleures chances d’accès aux nouveaux traitements. Cela passe notamment par la participation à des essais cliniques testant de nouvelles approches thérapeutiques. En 2018, dans les centres labellisés, 912 patients en échec thérapeutique dont 137 enfants ont eu accès à des thérapies ciblées innovantes.

9 De nouvelles combinaisons de traitements
L’association de plusieurs traitements permet d’augmenter les chances de guérison. Par exemple, contre les mélanomes, l’association de deux thérapies ciblées permet d’allonger la survie de 34 % à 5 ans.

10 Une qualité de vie améliorée
Les chercheurs développent des stratégies pour limiter la fatigue, préserver la masse musculaire, accompagner psychologiquement, réduire l’impact familial et social de la maladie.
Une meilleure prévention

Les progrès en cancérologie passent d’abord par une meilleure prévention.
Aujourd’hui, par exemple, nous avons rendu possible, grâce à un logiciel innovant, l’évaluation du risque individuel de chaque femme d’avoir un cancer du sein à partir de son historique personnel et médical.
Un diagnostic plus précoce

Pour accroître les chances de guérison et limiter les effets secondaires des traitements, le diagnostic doit être fait le plus tôt possible. Des progrès ont notamment été réalisés pour le diagnostic du cancer du col de l’utérus.
Il est aujourd’hui plus précis et plus précoce, ce qui permet d’intervenir rapidement, d’utiliser des traitements moins lourds et de guérir plus souvent.
Des opérations plus précises

La chirurgie reste très souvent le premier geste thérapeutique. Le développement des technologies d’imagerie médicale permet de guider une chirurgie moins invasive, mieux ciblée, par exemple dans la prise en charge des cancers digestifs.
Le développement des analyses moléculaires

81 000 patients ont bénéficié d’une analyse moléculaire en 2017. Par exemple, les biopsies liquides, analyses moléculaires dans le sang, se développent pour limiter les biopsies directement dans la tumeur, nécessitant l’intervention du chirurgien.
Des thérapies ciblées plus efficaces

La caractérisation plus précise des tumeurs permet de proposer, lorsqu’il existe, un traitement ciblé sur les anomalies moléculaires identifiées. Le traitement est ainsi devenu plus précis et plus efficace. Il n’est plus guidé seulement par la localisation de la tumeur.
Le développement des immunothérapies

En 2010, sont apparus des médicaments qui renforcent les défenses immunitaires des patients. Ces immunothérapies se sont d’abord montrées efficaces dans le mélanome métastatique, permettant de sauver 40 % des patients qui, avant 2010, n’auraient pas survécu à la maladie. En 10 ans, ce traitement s’est étendu à de nombreux autres types de tumeur.
Une meilleure prédiction de la réponse aux traitements

Pour utiliser les thérapies ciblées et les immunothérapies uniquement chez les patients qui vont en tirer un bénéfice, il est nécessaire de développer des tests prédictifs de la réponse.
Ainsi, alors que seulement 15 % des patients atteints de sarcome répondaient initialement à une immunothérapie, le taux de réponse est maintenant de 50 % car les patients ont été mieux sélectionnés.
Un accès au meilleur traitement

Il est essentiel de donner à chaque malade les meilleures chances d’accès aux nouveaux traitements. Cela passe notamment par la participation à des essais cliniques testant de nouvelles approches thérapeutiques. En 2018, dans les centres labellisés, 912 patients en échec thérapeutique dont 137 enfants ont eu accès à des thérapies ciblées innovantes.
De nouvelles combinaisons de traitements

L’association de plusieurs traitements permet d’augmenter les chances de guérison. Par exemple, contre les mélanomes, l’association de deux thérapies ciblées permet d’allonger la survie de 34 % à 5 ans.
Une qualité de vie améliorée

Les chercheurs développent des stratégies pour limiter la fatigue, préserver la masse musculaire, accompagner psychologiquement, réduire l’impact familial et social de la maladie.
Pour féliciter les chercheurs et les remercier :
merci pour votre message aux chercheurs !
Ensemble, continuons à soutenir la recherche sur le cancer pour concrétiser les espoirs des malades.
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Pr. Éric Solary,
Président du Conseil scientifique de la
Fondation ARC
Le premier enjeu est de mieux prévenir la survenue d’un cancer en adaptant la prévention à chaque personne.
Lire la suiteLe premier enjeu est de mieux prévenir la survenue d’un cancer en adaptant la prévention à chaque personne. C’est aussi diagnostiquer plus tôt les cancers pour intervenir plus vite, avant qu’une tumeur génère des métastases.
Lorsqu’un traitement est nécessaire, il est utile d’anticiper son efficacité pour faire des choix entre différents traitements. Pour cela, nous devons continuer à analyser les tumeurs, ce qu’il est maintenant possible de réaliser à l’échelle unicellulaire. Cela permet de prendre en compte la diversité des cellules qui composent une tumeur car cette diversité influence la réponse au traitement.
Pour relever ces premiers défis, l’intelligence artificielle devrait nous aider. L’analyse intégrée de grandes quantités de données permet de créer des algorithmes qui aident les médecins dans l’analyse des images radiologiques, des biopsies tissulaires et des études moléculaires.
L’amélioration des stratégies thérapeutiques contre les cancers passe aussi par l’utilisation de plus en plus précise des nouveaux traitements - immunothérapies et thérapies ciblées- et de leurs combinaisons : quel est le meilleur moment ? quelle est la meilleure dose ?
Autre défi à relever, adapter la prise en charge des cancers à l’âge des patients, aux autres maladies qui les affectent, pour être efficaces à tous les âges de la vie.
Enfin, et ce n’est pas le moindre des défis, il faut s’assurer de la qualité de vie des patients pendant et après le traitement d’un cancer, prendre en compte ce paramètre dans le choix du traitement, et aider les personnes guéries à reprendre une vie normale.
ILS TÉMOIGNENT
Denis Brogniart,
Parrain de la Fondation ARC
En 1992, je perds mon père. Il a lutté
plus d’un an contre un cancer du poumon. Il a 49 ans, j’en ai 25. Depuis
cette maladie me hante. Pourquoi au XXIe siècle, ce fléau est-il encore
la première cause de mortalité avec près de 400 décès par jour en France
? C’est pour contribuer à diminuer ce chiffre que j’ai décidé de devenir
parrain de la Fondation ARC pour la recherche sur le cancer. Cette
fondation travaille avec les meilleurs experts mondiaux pour vaincre la
maladie. La Fondation ARC est une véritable fabrique d’espoir. Alors
donnons pour la recherche et sauvons plus de vies !
Anne-Isabelle, 21 ans,
touchée par un cancer du côlon
...
Pr. Éric Solary,
Président du Conseil scientifique
de la Fondation ARC
Ce sont les espoirs de
guérison des malades qui me portent en tant que médecin, ce sont le
besoin de comprendre et la nécessite de trouver des solutions
thérapeutiques qui me portent en tant que chercheur.
Sloane, 35 ans,
touchée par un cancer du sein
À 6 mois de grossesse, mon sein droit
avait un aspect bizarre. Après des examens, on m’annonce que c’est un
cancer ! Les médecins ont choisi de retirer la tumeur, mais il était
hors de question que je fasse de la chimiothérapie durant ma grossesse.
J’ai donc commencé la chimio quand mon petit garçon a eu 3 semaines… 8
mois après, on me retirait mes deux seins alors que je n’avais que 31
ans. Le travail des chercheurs m’a permis de bénéficier de traitements
adaptés à ma vie de maman. Il est donc primordial de soutenir la
recherche car c’est grâce à elle qu’on soigne de mieux en mieux les
patients et qu’on sauve des vies.
Paul,
Donateur
Aujourd’hui, j’ai
l’impression que les cancers se multiplient autour de moi. Personne
n’est épargné par cette maladie et demain ce sera peut-être moi ou un
autre de mes proches.
Il faut permettre à la recherche d’accélérer les découvertes en la
soutenant le plus activement possible. De mon côté, j’ai choisi de
donner 15 euros par mois en prélèvement automatique. Ce montant prélevé
chaque mois me permet de soutenir cette cause qui me tient à cœur.
Adrien,
guéri d’un cancer du sang
En 1990, on a diagnostiqué à mon petit
garçon Adrien, âgé de 2 ans, un lymphome de Burkitt, un cancer du
sang. La chimiothérapie a été très éprouvante. Nous sommes passés d’un
petit garçon vif à un enfant malade. Il ne parlait presque plus,
maigrissait, perdait ses cheveux… et nous demandait sans arrêt «
Pourquoi ? » … En 1996, on nous a enfin annoncé « Adrien ne rechutera
pas ». Aujourd’hui, il va bien et n’a aucune séquelle.
En France, nous avons des chercheurs de grande qualité, et
heureusement
qu’ils peuvent compter sur le soutien de particuliers pour continuer de
faire progresser les traitements. 
Denis Brogniart,
Parrain de la Fondation ARC
En 1992, je perds
mon père. Il a lutté plus d’un an contre un…
En 1992, je perds mon père. Il a lutté plus d’un an contre un
cancer du poumon. Il a 49 ans, j’en ai 25. Depuis cette maladie me hante.
Pourquoi au XXIe siècle, ce fléau est-il encore la première cause de mortalité
avec près de 400 décès par jour en France ? C’est pour contribuer à diminuer ce
chiffre que j’ai décidé de devenir parrain de la Fondation ARC pour la recherche
sur le cancer. Cette fondation travaille avec les meilleurs experts mondiaux
pour vaincre la maladie. La Fondation ARC est une véritable fabrique d’espoir.
Alors donnons pour la recherche et sauvons plus de vies !
Lire la suite
Anne-Isabelle, 21 ans,
touchée par un cancer du côlon
Adrien,
guéri d’un cancer du sang
En 1990, on a
diagnostiqué à mon petit garçon Adrien, âgé de 2…
En 1990, on a diagnostiqué à mon petit garçon Adrien, âgé de 2
ans, un lymphome de Burkitt, un cancer du sang. La chimiothérapie a été
très éprouvante. Nous sommes passés d’un petit garçon vif à un enfant malade. Il
ne parlait presque plus, maigrissait, perdait ses cheveux… et nous demandait
sans arrêt « Pourquoi ? » … En 1996, on nous a enfin annoncé « Adrien ne
rechutera pas ». Aujourd’hui, il va bien et n’a aucune séquelle.
En France, nous avons des chercheurs de
grande qualité, et heureusement qu’ils peuvent compter sur le soutien de
particuliers pour continuer de faire progresser les traitements.
Lire la suite
Sloane, 35 ans,
touchée par un cancer du sein
À 6 mois de
grossesse, mon sein droit avait un aspect bizarre…
À 6 mois de grossesse, mon sein droit avait un aspect bizarre.
Après des examens, on m’annonce que c’est un cancer ! Les médecins ont choisi de
retirer la tumeur, mais il était hors de question que je fasse de la
chimiothérapie durant ma grossesse. J’ai donc commencé la chimio quand mon petit
garçon a eu 3 semaines… 8 mois après, on me retirait mes deux seins alors que je
n’avais que 31 ans. Le travail des chercheurs m’a permis de bénéficier de
traitements adaptés à ma vie de maman. Il est donc primordial de soutenir la
recherche car c’est grâce à elle qu’on soigne de mieux en mieux les patients et
qu’on sauve des vies.
Lire la suite
Paul,
Donateur
Aujourd’hui, j’ai
l’impression que les cancers se multiplient…
Aujourd’hui, j’ai l’impression que les cancers se multiplient
autour de moi. Personne n’est épargné par cette maladie et demain ce sera
peut-être moi ou un autre de mes proches.
Il faut permettre à la recherche
d’accélérer les découvertes en la soutenant le plus activement possible. De mon
côté, j’ai choisi de donner 15 euros par mois en prélèvement automatique. Ce
montant prélevé chaque mois me permet de soutenir cette cause qui me tient à
cœur.
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Pr. Éric Solary,
Président du Conseil scientifique
de la Fondation ARC
Ce sont les espoirs
de guérison des malades qui me portent en tant…
Ce sont les espoirs de guérison des malades qui me portent en
tant que médecin, ce sont le besoin de comprendre et la nécessite de trouver des
solutions thérapeutiques qui me portent en tant que chercheur.
Lire la suite

Denis Brogniart,
Parrain de la Fondation ARC
En 1992, je perds mon père. Il a lutté
plus d’un an contre un cancer du poumon. Il a 49 ans, j’en ai 25. Depuis
cette maladie me hante. Pourquoi au XXIe siècle, ce fléau est-il encore
la première cause de mortalité avec près de 400 décès par jour en France
? C’est pour contribuer à diminuer ce chiffre que j’ai décidé de devenir
parrain de la Fondation ARC pour la recherche sur le cancer. Cette
fondation travaille avec les meilleurs experts mondiaux pour vaincre la
maladie. La Fondation ARC est une véritable fabrique d’espoir. Alors
donnons pour la recherche et sauvons plus de vies !

Anne-Isabelle, 21 ans,
touchée par un cancer du côlon
...

Pr. Éric Solary,
Président du Conseil scientifique
de la Fondation ARC
Ce sont les espoirs de
guérison des malades qui me portent en tant que médecin, ce sont le
besoin de comprendre et la nécessite de trouver des solutions
thérapeutiques qui me portent en tant que chercheur.

Sloane, 35 ans,
touchée par un cancer du sein
À 6 mois de grossesse, mon sein droit
avait un aspect bizarre. Après des examens, on m’annonce que c’est un
cancer ! Les médecins ont choisi de retirer la tumeur, mais il était
hors de question que je fasse de la chimiothérapie durant ma grossesse.
J’ai donc commencé la chimio quand mon petit garçon a eu 3 semaines… 8
mois après, on me retirait mes deux seins alors que je n’avais que 31
ans. Le travail des chercheurs m’a permis de bénéficier de traitements
adaptés à ma vie de maman. Il est donc primordial de soutenir la
recherche car c’est grâce à elle qu’on soigne de mieux en mieux les
patients et qu’on sauve des vies.

Paul,
Donateur
Aujourd’hui, j’ai
l’impression que les cancers se multiplient autour de moi. Personne
n’est épargné par cette maladie et demain ce sera peut-être moi ou un
autre de mes proches.
Il faut permettre à la recherche d’accélérer les découvertes en la
soutenant le plus activement possible. De mon côté, j’ai choisi de
donner 15 euros par mois en prélèvement automatique. Ce montant prélevé
chaque mois me permet de soutenir cette cause qui me tient à cœur.

Adrien,
guéri d’un cancer du sang
En 1990, on a diagnostiqué à mon petit
garçon Adrien, âgé de 2 ans, un lymphome de Burkitt, un cancer du
sang. La chimiothérapie a été très éprouvante. Nous sommes passés d’un
petit garçon vif à un enfant malade. Il ne parlait presque plus,
maigrissait, perdait ses cheveux… et nous demandait sans arrêt «
Pourquoi ? » … En 1996, on nous a enfin annoncé « Adrien ne rechutera
pas ». Aujourd’hui, il va bien et n’a aucune séquelle.
En France, nous avons des chercheurs de grande qualité, et
heureusement
qu’ils peuvent compter sur le soutien de particuliers pour continuer de
faire progresser les traitements.

Denis Brogniart,
Parrain de la Fondation ARC
En 1992, je perds
mon père. Il a lutté plus d’un an contre un…
En 1992, je perds mon père. Il a lutté plus d’un an contre un
cancer du poumon. Il a 49 ans, j’en ai 25. Depuis cette maladie me hante.
Pourquoi au XXIe siècle, ce fléau est-il encore la première cause de mortalité
avec près de 400 décès par jour en France ? C’est pour contribuer à diminuer ce
chiffre que j’ai décidé de devenir parrain de la Fondation ARC pour la recherche
sur le cancer. Cette fondation travaille avec les meilleurs experts mondiaux
pour vaincre la maladie. La Fondation ARC est une véritable fabrique d’espoir.
Alors donnons pour la recherche et sauvons plus de vies !

Anne-Isabelle, 21 ans,
touchée par un cancer du côlon

Adrien,
guéri d’un cancer du sang
En 1990, on a
diagnostiqué à mon petit garçon Adrien, âgé de 2…
En 1990, on a diagnostiqué à mon petit garçon Adrien, âgé de 2
ans, un lymphome de Burkitt, un cancer du sang. La chimiothérapie a été
très éprouvante. Nous sommes passés d’un petit garçon vif à un enfant malade. Il
ne parlait presque plus, maigrissait, perdait ses cheveux… et nous demandait
sans arrêt « Pourquoi ? » … En 1996, on nous a enfin annoncé « Adrien ne
rechutera pas ». Aujourd’hui, il va bien et n’a aucune séquelle.
En France, nous avons des chercheurs de
grande qualité, et heureusement qu’ils peuvent compter sur le soutien de
particuliers pour continuer de faire progresser les traitements.

Sloane, 35 ans,
touchée par un cancer du sein
À 6 mois de
grossesse, mon sein droit avait un aspect bizarre…
À 6 mois de grossesse, mon sein droit avait un aspect bizarre.
Après des examens, on m’annonce que c’est un cancer ! Les médecins ont choisi de
retirer la tumeur, mais il était hors de question que je fasse de la
chimiothérapie durant ma grossesse. J’ai donc commencé la chimio quand mon petit
garçon a eu 3 semaines… 8 mois après, on me retirait mes deux seins alors que je
n’avais que 31 ans. Le travail des chercheurs m’a permis de bénéficier de
traitements adaptés à ma vie de maman. Il est donc primordial de soutenir la
recherche car c’est grâce à elle qu’on soigne de mieux en mieux les patients et
qu’on sauve des vies.

Paul,
Donateur
Aujourd’hui, j’ai
l’impression que les cancers se multiplient…
Aujourd’hui, j’ai l’impression que les cancers se multiplient
autour de moi. Personne n’est épargné par cette maladie et demain ce sera
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montant prélevé chaque mois me permet de soutenir cette cause qui me tient à
cœur.

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